dodo au creux de l'arbre ... [Panzanni]

Le soleil était à peine levé, il n’y avait pour le moment qu’une légère brume annonciatrice de l’aube, la fraîcheur de la nuit faisait encore craqué les lattes du parquet du vieux château et plus que tout, cela embarrassé Bella. Ceci était la principale raison de son manque de sommeil. Elle resta un long moment allongé dans son lit à baldaquin, les rideaux à peine entrouverts, le soleil caressé délicatement son visage, se faufilant parmi la seule ouverture qu’il possédait. Elle ferma les yeux, la chaleur du soleil la rendait somnolente, il y avait bien longtemps qu’elle n’avait pas profiter d’un peu de temps dans son lit comme cela. Pour tout dire, elle ne se rappelait même plus de la dernière fois que cela lui était arrivé. Mais elle comptais bien en profiter aujourd’hui. Après tout, il n’était encore que six heures du matin ... Mais soudain, un craquement plus fort que les autres la fit brusquement sursauter et elle décida que l’ambiance était ruinée. Elle soupira doucement afin de ne pas réveiller ses condisciples qui elles, dormaient d’un sommeil de plomb. Se redressant lentement et les deux bras en avant tel un zombi, elle scruta les alentours de son lit. Tout était parfaitement rangé comme d’habitude. Sur sa table de chevet il y avait un élastique en soie qu’elle attrapa rapidement afin de rassembler ses interminables cheveux dans une coiffure assez bizarre, sans qu'elle ait vraiment un nom précis comme a son habitude... Attrapant sa robe de chambre au bout de son lit, elle l’enfila soigneusement tout en glissant ses pieds dans ses pantoufles au pied de son lit. Se levant sans un bruit, elle ouvrit ses rideaux et se dirigea vers son armoire. Là, elle y récupéra l’ensemble qu’elle comptait porter et se dirigea vers la salle de bain des préfets.

Une fois à l’intérieur, elle ferma la porte avec rage, avant de se précipiter vers le lavabo. Une fois là, elle ouvrit brusquement le robinet d’eau glacée et s’aspergea rigoureusement le visage, teintant ainsi ses joues d’un halo rosé, témoignage du froid intense qu’elle leur faisait subir. Après quelques minutes de ce traitement barbare, elle releva la tête afin de croiser son reflet dans le miroir, déçut une énième fois par sa banalité qui ne lui apportait rien, elle défit d’un geste sec le nœud de sa robe de chambre, laissant celle-ci tombé dramatiquement sur le sol, dévoilant ainsi sa fine silhouette féminine recouverte d’une courte nuisette de soie. Bella fit lentement descendre les bretelles de son habit de nuit qui forma aussitôt un petit tas informe sur le sol avant de se diriger vers la grande baignoire dans laquelle elle ouvrit les robinets afin de se tremper dans une étendue d’eau tiède. La baignoire se remplissait lentement, créant des sons mélodieux alors que l’eau coulait à flot. D’un geste mécanique, elle attrapa la petite fiole de soin de bain qui reposait à l’autre extrémité de la baignoire et la vida presque entièrement dans l’eau tourbillonnante. La musique était quelque chose sur laquelle elle n’arrivait jamais à se mettre d’accord avec elle-même. Tout les deux lui permettaient d’exprimer sa mélancolie, sa tristesse et sa douleur caché tout comme cette solitude qu’elle s’imposait à elle-même. Néanmoins, la musique la détendait et la resourcée un peu. Elle soupira entra lentement dans la baignoire presque remplie à ras bord. Ses orteils gémirent sous le changement brusque de température et envoyèrent dans son corps un frisson d’alarme qu’elle choisit d’ignoré alors qu’elle se laissée pénétrer dans l’eau. Immergeant totalement son corps, elle prit soin de ne pas se détacher ses cheveux. Une fois tout cela fait, elle ferma les robinets et s’allongea dans la baignoire, ne laissant dépassé que ses hcevuex frisé et son vcisage au traits grossier. La musique était dans sa tête, elle connaissait par cœur chaque mélodies… et les images se formaient dans sa tête tandis qu’elle s’endormait paisiblement.

Elle se réveilla en sursaut alors que l’eau commençait à devenir froide, la mélodie dans sa tête s’arrêta lentement afin de ne pas la brusqué et elle sentit immédiatement que le bien être l’avait envahie. Elle sortit de la baignoire dans laquelle la mousse avait presque totalement disparue et s’enveloppa dans une grand serviette.Elle posa la serviette sur son support et entreprit de s’habiller. Elle avait opter pour une grande robe bustier noire et celle-ci lui allait particulièrement bien. Elle s’admira quelques instant dans le miroir et machinalement se regarda en entière dans tout les profil... Elle sortit de la salle de bain embuée. La vapeur la suivit dans un nuage qu’elle dispersas d’un mouvement de la main agacé et elle se pencha pour attraper une boite sous son lit. Il s’agit d’une boite à chaussure, elle l’ouvrit délicatement révélant de superbes bottines lacée parfaitement assorties à sa robe du jour. Quelqu’un se serait pencher sous le lit aurait découvert des centaines de boites de chaussures miniaturisées. Elle s’assit sur son lit afin de les enfilés et une fois ceci fait, elle prit ses livres dans son sac et sortit du dortoir Lançant un regard sur sa Soeur qui dormait a point fermée. Elle avait de la chance de pouvoir dormir un peu. Bella elle ne fermait quasiment plus l'oeil de la nuit.

Ses pas la menèrent vers le parc, elle appréciait particulièrement le fait de pouvoir lire en silence avant que toute la masse d’élève n'arrive. Une fois arrivée devant l’énorme pommier, elle regarda autour d’elle et ne voyant personne, elle grimpa rapidement à l’arbre. Une fois bien installée sur une branche, elle ouvrit son livre sur les animagus et commença sa lecture. Une demi-heure plus tard… ses yeux se fermaient doucement, bercée par les odeurs de l'herbe mouiller et berce par le bruit du lac qui houlait...

Son bras pendait dans le vide, dans sa main, son livre. Tout à coup, une petite bourrasque la fit bouger, elle n’ouvrit pas les yeux mais lâcha le livre sans même s’en rendre compte. Celui-ci atterrit à quelques centimètres d'une personne qui se trouvait juste en dessous.

Comme chaque matin à l'aube, Pénélope était assise près de sa fenêtre. Comme chaque matin, elle était la première réveillée. La jeune fille aux yeux bleus trouvait un peu mieux le someille. En fait, elle avait décider de chaque soir de faire un peu de méditation. Histoire de se détendre. Ca marchait mais le lendemain matin la même tristesse se fondait sur son visage et dans son esprit. Elle n'avait pas encore fait le deuil et elle souffrait sans le montrer. Même pas à Lui. Même pas à Elle. Pénélope savait très bien qu'ils savaient.

Pour la première fois de sa vie, se spectacle la lassait. La jeune fille ne supportait plus du tout se spectacle. Elle avait même envie de vomir. Elle ne se sentait pas bien du tout. La jeune fille se leva en évitant de faire du bruit et alla dans la salle de bain. Elle se dirigea vers le robinet où elle prit un peu d'eau entre ses mains et se le mit sur son visage pour se remettre les idées en place. Pénny finit alors par se décider à prendre une douche. Elle se déshabilla donc et la prit. L'eau coulait le long de sa peau blanche. Bizarrement Pénny sentait chaque goutte couler. Cette sensation était bizzare. Etait-ce la méditation qui avait fait cela? Sans doute.

Finalement après dix minutes sous la douche, elle sortit alors de sa douche et mit alors une serviette autour de son buste. Ses cheveux bruns étaient mouillez et ils dégoulinaient encore d'eau. Sur le plancher au fur et à mesure que la Serdaigle se dirigeait vers son lit, on pouvaoir des gouttes y tombé et laisser leur marque pour plus tard sécher. La jeune fille sortit alors de sa malle sonuniforme tout beau et tout propre. Elle l'enfila et se fit une tresse avec ses cheveux bruns. Puis sans un bruit elle sortit de son dortoir.

Pénélope décida alors de sortir dehors tout en sautant le petit déjeuner. Elle n'avait pas faim. Elle sortit alors dehors. Il n'y avait personne et d'ailleurs c'était mieux ainsi. Pén ny se dirigea vers un arbre et s'y assit. Soudain, elle entendit quelque chose tombé juste à côté d'elle. Elle regarda. C'était un livre. Elle le prit et dit alors:

Je me demande c'est à qui ça?

Bella était toujours sur la branche de son arbre. Les yeux clos elle n'avait pas sentit le livre qui lui avait glissait des ses mains devenu squeletique. Même les yeux fermée, en somnolant, Bella sentait la brise du vent lui fouétait le visage, elle entendait les feuilles bouger non loin d'elle mais elle ne penssait surement pas que quelqu'un viendrait s'installait juste en dessous de son lieu de pèlerinage...

" Je me demande c'est à qui ça? "

Quelqu'un était juste en dessous de Bella. Cette dernière ouvrit alors les yeux. Décidement elle ne pouvait pas dormir la nuit et pas dormir le jour quand elle était tranquil. Ma foie qu'est ce qu'elle allait dire. Si c'est un première année, Bella l'envoierait pètre, si c'est une des ses connaissance qu'elle a classer dans le catégorie des personnes en qui elle pouvait encore avoir confiance, elle lui demanderait de partir avec calme... Elle se redressa du haut de sa branche et regarda en dessous d'elle... Elle l'avait déjà vu ... Oui c'était Pénéloppe, la nouvelle petite amie de Igor... Bella se moquait éperduement de cette relation car pour une fois çà ne la toucher pas directement... Ce n'était donc pas a elle pour une fois de faire l'oiseau de mauvaise augure... Elle descendit de l'arbre avec un agilité très surprenante et dit avant que Pénéloppe n'est le temps de réagir. Son ton était calme elle ne montrait aucune agressivitée, ni aucun lassement. Elle était calme et c'était rare il fallait donc en profiter...

"- C'est le mien... Je me posais quelques questions et je me suis dit que les reponses étaient dedans... Je suis désolé si il t'es tombait dessus"

Elle tendit alors sa frèle main vers Pénéloppe afin que cette dernière lui rende son livre sans lire le titre. Bella regardait son Livre, Pénéloppe avait la quatrième de couverture face a ses yeux et cela soulagea Bella...

La jeune fille aux yeux bleus n'eut pas le temps de lire le titre du livre. Elle leva la tête et vi alors quelqu'un déscendre de l'arbre. C'était Bellatrix, la meilleure amie d'Igor et de... Rabastan. Pénélope n'avait plus jamais parlé de ce qui c'était passé et d'ailleurs elle ne préférait même pas y penser. Elle savait que c'était dur de perdre quelqu'un de proche. Pénélope en avait fait l'expérience il n'y a pas longtemps. La jeune fille aux yeux bleus se emandait comment allait la Serpentard de même année en face d'elle. Bien sur elle savait déjà la réponse.Mal. Et cela se voyait. Bellatrix semblait plus triste moin ouverte. Son teint était pâle et le manque de sommeil se faisait ressentir. Pénélope remarquait aussi qu'elle était plus mince que d'habitude. Elle avait de la peine pour elle.

C'est le mien... Je me posais quelques questions et je me suis dit que les reponses étaient dedans... Je suis désolé si il t'es tombait dessus

Le ton de sa voix était calme et posé. D'habitude, Bellatrix n'était pas comme ça. Elle semblait à bout de force et la Serdaigle se demandait combien de temps elle allait tenir encore. Pas très longtemps en tout cas. La Serdaigle vit alors la main blanche de la jeune Black se tendre à elle. Au début elle ne comprit pas tout de suite mais après elle posa son regard sur le livre qu'elle tenait en main. Elle tendit la main et lui rendit son livre. Pénny lui fit un sourire aimable. Un long silence s'installa. Ses silences là Pénélope ne les aimaient pas. Elle ne supportait plus le silence à présent. Pénélope finit par dire:

"

Tu devrais prendre une Potion de Sommeil, ça t'aidera.

"

[Désoler c'est pas terrible]

[xD pas grave...]

" Tu devrais prendre une Potion de Sommeil, ça t'aidera. "

Pfff. Comme si une potion pouvait aider Bellatrix. De plus cela ne lui ferait surement aucun effet. Sur le fait ce n'était pas une mauvaise idée de la part de la jeune Serdaigle en face d'elle. Elle la regarda aucune émotion quelconque ne s'affichait sur son visage. Rien. Aucun sourire, aucune colère. Bellatrix restait impassible... Elle lui repondit alors d'un ton monocorde :

"- Merci mais ca ira je n'en ai pas besoin..."

** A chaque fois que je dors on trouve le moyen de me reveiller donc c'est normal après tout... **

Elle soupira et repris son livre. Pendant de longue minute il y eu un long silence. Le genre de silence que Bellatrix préférer éviter. Mais la fuite était impossible. Elle choisit alors la voie de la raison et demanda a Pénéloppe :

"- Igor ma dit pour ton père. Je suis désolé pour toi... Et crois je sais ce qu'on rescent après ça..."

Bellatrix voyait encore le corps de Rabastan gisant par terre. Sans vie. Bellatrix se rappellait de tout ce qui s'était passé. Tout dans les moindre détail... Elle ne voulait pas que ses images lui reviennent a l'esprit mais quoi qu'elle fasse ces pensée obscure la suivait partout où qu'elle aille et quoi qu'elle fasse. Ces souvenir si nous pouvons les appeler ainsi resterai gravait dans sa mémoire, gravait en elle a tout jamais. Marquait comme le jour ou elle avait tué un de se amis pour rien... A cette pensé, son visage se déforma en une grimace qui devait plus ressembler a un sourire de désolation...

"

Merci mais ca ira je n'en ai pas besoin...

- Comme tu voudras je disais ça pour t'aider tu sais

"

P

énélope remarqua que la Serpentard en face d'elle était de glace. Et elle la comprenait très bien. Elle comprenait très bien qu'elle ne veuille aps montrer ses sentiments. Qu'elle ne veuille pas montrer sa déprime, sa tristese, sa peine, sa colère et son amertume. C'était tout à gfait normale. Il y a des gens cmme ça qui n'aime aps montrer leur sentiments. Qui font tout pour les cachers. Et Pénélope les comprenait. Elle savait très bien ce que cela faisait car elle aussi les cachaient surtout en ce moment.

L

a jeune fille aux yeux bleus sentit un léger vent passer. Ses cheveux se mirent à voler autour d'elle. Passant devant ses yeux. Longeant son doux vusage fin et doux.Cela ne la dérangeait pas. Elle en avait l'habitude. Peu à peu le ciel s'assombrissait. La pluie n'allait aps tarder. Temp pis. Pénélope avait envie de rester dehors. Elle avait envie de sentir la pluie sur son visage. La jeune fille sortit de ses pensées quand Bellatrix se mise à parler:

"

- Igor ma dit pour ton père. Je suis désolé pour toi... Et crois je sais ce qu'on rescent après ça...

-Merci c'est gentille Bellatrix. je uis désolée aussi pour Rabastan. je sais que tu n'as pas voulut le tuer et que tu n'es aps un monstre comme la eprsonne qui a tué mon père ou encore celle qui a jeter un sort sur Rabastan pour qu'il perde le contrôle. Ne me demande aps comment je sais tout ça. Je ne comprendpas moi même. Oui à présent je sais ce que ça fait de perdre un être cher Bellatrix. Nous le savons toutes les deux. Mais ne te laisse pas aller dans tes idées noires. La vie a plein de choses à offrir malgré ce qu'elle t'a fait. Je suis sur qu'un jour tu retrouvera le sourire. Tout comme moi, tout comme Igor, tout comme la petite bande des Serpentard. J'en suis sur et certaine.

"

P

énélope s'arrêta de parler. Elle en avait dit des choses. Elle avait peut-être un peu trop parler mais elle avait dit ce qu'elle pensait. Elle avait dit ce qu'elle ressentait. Elle avait dit tout ce qu'elle avait sur le coeur.Elle espérait que Bella ne lui rit aps au nez, ou ne la remballe. Car ce qu'elle avait dit c'était la vérité. Oui la vérité. Rien que la vérité. La jeune fille dit alros avec un faible sourire et avec un petit murmure:

"

Désoler je parle trop...

"

"- non non Pénéloppe ne t'en fait pas. tu sais j'ai l'habitude de pir en se moment..."

Et oui tout le brouaha qu'il y avait, le fait qu'elle ne dormait plus qu'elle devait se levait avant ces condisciples de Serpentard. Mais aussi le fait que Bellatrix reçoivent a elle deux trentre hiboux minimum par matin... Cela l'exaspérait mais pas que ca elle en avait marre qu'on l'aborde dans les couloirs a chaque fois que quelqu'un la croise... Mais a force on s'y habituait sans compter aussi ceux qui voyant Bellatrix hausse le ton pour parlait d'elle. Elle traçait alors vite son chemin. Ne voulant pas s'importait. Et tant bien que mal elle arrivait a ce contenir, mais fallait pas que ca dure trop longtemps non plus...

Et là ce n'était pas pareil. Bellatrix avait peu de companie c'est dernier temps, elle ne savait pas sur qui elle pouvait vraiment compter, elle ne savait pas sur qui et avec qui elle pouvait avoir confiance. Pour le moment personne mais comme la dit Pénnélope, elles étaient deux a savoir ce qu'est la souffrance de perdre un être chère. Mais ce que Pénéloppe ignorait c'est la soufrance qu'on endure quand plusieurs chose se combine ensemble. La mort de Rabastan, La prophétie, sa semi relationa avec Lucius, la Dépression de sa soeur... etc. Bellatrix était forte mais fallait pas poussait le bouchon non plus elle était humaine et avait un palier de saturation ! Pour le moment on ne l'avait pas dépassé mais il finira bien par être dépasser si les choses continuait de filer comme elle vont..

» venir chercher un peu de calme au creux des arbres (pv Brice)