Nuit Blacnhe [pv Ma chtite Maë]

Le silence regnait dans le dortoir des filles,toutes les Serpenatrds dormain...sauf une...Bellatrix Black!!
Elle n'arrivait pas a dormir trop d'idees circulaient dans sa tete...elle ne savait plus ou elle en etait...c'est deja le debut de l'annee et elle commence a s'attirer des ennuies et sa reputation d'assez mauvaise et arrogante eleve l'a precede...
elle ne suportait plus l'ambiance qui trainait dans le chateau... Tout le monde parlait d'elle de Lupin ou des nouveaux arrivants. Pour toutes ses personnes il était dur de rester a pourddlard et de garder son calme...
C'etait deux heure du matin et Bella n'arrivait pas a dormir et comme d'habitude une idee lui vint a l'Esprit...

*Pourquoi pas la bibliotheque...enfin quoi...je doit vérifier quelques choses!!*

Portant qu'une mini robe de chambre transparente laissant voir sa nuissette,les pieds nus et sa baguette a la main elle se dirigea vers la bibliothque... Elle fit le debut du trajets en direction et lorsqu'elle arriva au hall pris sa forme animagus et se dirigea vers la bibliothèque

*Esperont que cet idiot de Rusard n'est pas encore eveille...*

Elle repris sa forme humaine lorsqu'elle se retrouva pas trop loin de la porte... Marchant sur les points des pieds elle arriva enfin a la bibliotheque:

"- Lumos.....!"

Murmura-t-elle....

Elle savait que si un professeur la surprendrait elle sera expulse mais bon elle s'en foutait elle s'ennyait trop au dortoir

"-Et puis tompis...ils meritent...ils auraient du mettre des dortoirs mixtes!! ou l'ont peu un peu s'amuser... Alohomora!"

La porte de la bibliothèque s'ouvrit sans opposé aucune résistance... Bella se dirigea alors vers un coin de la bibliotheque,sortit un livre sur les animagus et le planqua contre elle... Elle repris sa forme animagus afin de passer inaperçut puis se retrouva dans le couloirs. Elle posa le livre et commença a le lire. Il est vraie que un loup qui lit un livre n'est pas très courant mais si un professuer passer par la Bella avait plus de chance de passer inaperçut ou de fuire si un professeur arriviat..

La nuit avait, depuis un moment maintenant, étendu son manteau sombre sur le château, plongeant du même coup ses habitants dans les affres d’un sommeil réparateur. Pourtant, malgré cette heure tardive, tous ne dormaient pas encore… et Maëlis faisait partie de ceux-là. Insomnie ? Pour une fois, non. Ce soir, elle était chargée de surveiller les troisième, quatrième et cinquième étages du château pendant une demi-heure avant d’être relayée par un autre. Devoir de préfet oblige… Ça pouvait être pris comme une corvée mais, à vrai dire, cela ne la dérangeait pas vraiment.

Poudlard de nuit était, après tout, un spectacle à voir au moins une fois. Certes, à cette heure, les couloirs étaient tout ce qu’il y a de plus sombres et inintéressant. Cependant, les immenses fenêtres vitrées ornant les murs à chaque extrémité des corridors laissaient apparaître un paysage qui, déjà beau de jour, ne l’était que plus après le coucher du soleil.

C’est d’ailleurs sur le large rebord de l’une d’elles que May avait passé la majeure partie du temps de sa ronde, plongée dans sa contemplation autant que dans ses pensées. La lumière pure de la lune inondait le Parc, se reflétait dans les eaux sombres du Lac Noir -grouillant de vie malgré la totale absence de vagues à sa surface-, s’étalait jusqu’aux couloirs même du château. De l’autre côté, les branches épaisses du sol cogneur se laissaient doucement bercer par la brise légère, en flagrante contradiction avec son caractère habituel. Maëlis posa une main légère sur le verre d’apparence fragile. Quelques rayons de lune s’abattaient sur son visage et accentuaient le teint blafard de sa peau, relevant la couleur mi-feu mi-auburn de l’épaisse chevelure qui lui roulait sur les épaules, jusqu’au bas du dos. Couleur feu… un mince sourire étira ses lèvres fines. Non, ce n’était pas naturel. Elle avait les cheveux naturellement sombres, d’un noir de jais, que la lumière agrémentait de reflets bleutés. Mais elle aimait les changements…

Tant qu’ils étaient positifs, du moins.

Son sourire s’éteint aussi vite qu’il était apparu, et sa mine se fit plus sombre. Vous vous demandez peut-être à quoi était du ce changement si rapide ? Oh, ce n’était pas quelque chose d’inhabituel chez elle, ces derniers temps. Et pour cause, les derniers mois avaient été… aussi compliquées que difficiles. Tous les jours, de nouvelles rumeurs se répercutaient hors et entre les murs de Poudlard, toutes plus inimaginables les unes que les autres, se répandant plus vite qu’une trainée de poudre. Jours après jours, elles enflaient, inquiétant de plus en plus parents et enfants. Et ne cessaient de rendre plus difficile l’éloignement des familles. Maëlis posa son front contre la vitre glacée, au côté de sa main, souffla doucement, et regarda se former un nuage de buée qui disparut rapidement. Toute cette agitation les derniers évènements lui glissaient étrangement dessus, sans pour autant l’épargner. Déjà relativement lunatique, elle avait de plus en plus de mal à se concentrer sur ce qui se passait autours d’elle, constamment perdue dans ses propres pensées. Pourtant, elle n’avait aucune blessure à déplorer. Aucune mort à digérer. Et c’était justement ce qu’elle craignait le plus. Que sa mère, sa chère mère, si insouciante et tête en l’air, trouve le moyen de se fourrer dans les problèmes, comme elle le faisait si souvent.

Sa main se crispa, crissant sur le verre lisse, et elle se glissa à bas de la fenêtre. Si elle se mettait à penser à ça, nul doute que l’inquiétude l’empêcherait de trouver le sommeil ce soir. C’était quelque chose qui lui arrivait bien trop souvent depuis… depuis la mort de cet élève. Mort à laquelle elle avait assisté, bien malgré elle, et qui avait ranimé des souvenirs plus profonds, plus durs, les rendant plus vivaces qu’ils ne l’avaient été depuis bien longtemps. Elle se mordit durement la lèvre inférieure, s’obligeant à se concentrer sur sa tâche. Baguette levée, elle vérifia chaque pièce, le bout incandescent de sa baguette éclairant son chemin. Elle en eut rapidement finit avec le troisième étage, et monta au quatrième, la mâchoire crispé. Le silence qui régnait était total, seulement troublé par le bruit de ses pas qui résonnait, se répercutait pour lui revenir aux oreilles, deux fois plus fort selon elle. Pourtant, ses mouvements étaient fluides, légers, et alors qu’elle se croyait moins discrète qu’un troupeau d’hypogriffes, il aurait fallu une oreille développée pour se rendre compte de sa présence.

Si le couloir du troisième étage était totalement vide, ce n’était pas le cas du quatrième. Et protégée par l’ombre créée par les armures qui l’entouraient, Maëlis réussit à ne pas alerter l’ombre étrangement basse postée un peu plus loin… mais elle-même ne la vit pas. Ce n’est qu’en passant devant qu’elle se rendit compte d’une présence à ses côtés. D’un souffle qui résonnait, tout près d’elle. Assez près pour qu’elle se rende compte que ce n’était pas… un souffle humain. Elle se figea, bloquant sa respiration sans même en avoir conscience, et du prendre sur elle pour se tourner vers la source du bruit quasi inaudible qui l’avait alertée. Ses pupilles bleu clair croisèrent deux prunelles jaunes, rondes, brillantes d’intelligence, qui s’effilèrent à ce moment précis. Elle eut un mouvement de recul, mais se repris en avisant une forme, aux pieds de l’animale, qui confirma ses vagues soupçons. Un livre. Il y avait également la baguette, à laquelle elle n’avait pas prêté attention plus tôt. Elle aurait pu mourir de peur, hurler, s’enfuir en courant. Elle aurait pu le faire, si elle n’avait pas déjà croisé ce même animal quelques temps plus tôt. Souvenir qui avait d’ailleurs, assurément, marquée sa mémoire au fer rouge. Elle était en face d’un animagus, mais pas n’importe lequel. Elle savait exactement qui se trouvait devant elle, et cette idée était loin de la rassurer. On disait tant de choses sur elle que…

Coupant court à toute élucubration, Maëlis déglutit difficilement, et se força à prendre la parole, ignorant les mouvements du loup à ses côtés.

- Bellatrix ? Son ton était moins clair qu’elle l’aurait voulu, mais assez ferme cependant. Il s’agissait plus là d’une remarque que d’une réelle question, et elle n’attendait ni réponse, ni confirmation. Il est un peu tard pour quitter ton dortoir, tu ne penses pas ?

Elle ne la réprimandait pas réellement, et cela se sentait dans sa voix. C’était simplement son rôle. De plus, la Serpentarde n’aurait-elle pas pu lire son livre dans sa salle commune ? Evidemment, Maëlis ignorait tout de ce qui avait emmené l’élève ici, à cette heure, ainsi que les raisons qui la poussaient à rester dans ce couloir glacial plutôt que se réfugier à la chaleur d’un feu agréable.

Chapitre 1 : Les législations...
Bellatrix passa de son regard doré en revu tout les paragraphes, de se chapitre. Rien. Rien qui pouvait expliquait une telle hausse d'agressivité chez elle... Pas grave elle n'abandonnerai pas. Elle voulait savoir et même détestant les livres elle arriverait bien a avoir une réponses a sa question, enfin sa elle l'éspérer... Mais aparrement elle n'éspérer pas assez car aucune chose de la sorte n'est expliquer de ce premier chapitre qui aux yeux de Bellatrix ne servait a rien car tout le monde connais les consigne vis-avis du ministère et de la conduite a tenir. Mais c'était Bellatrix. Bellatrix Black. Le ministère et ses actions elle s'en foutait royalement. Elle préférer faire tout dans son dos que de faire comme les gentils toutous que sont les autre sorcier et d'aller les voir pour leur dire ce qu'ils ont fait et dans quel circonstance. Bellatrix n'était pas un toutou ! afin a proprement parler...
Chapitre 2 : Comment le devenir ?
Bellatrix était djà un animagus; donc c'est un chapitre dont elle se moque éperduement. a près tout elle était un animagus loup. Un animal majestueux dont elle ne regrettait rien. Tout, il avait tout pour lui plaire cette animal. Sa vue de nuit était aussi bonne que celle de jour, seul petit bémol, elle déplorait grandement sa vue éloigner. Mais la encore sa truffe la sauver, c'est impréssionnant toutes les senteurs qu'elle pouvait sentir. Tous les infime parfum qu'elle percevait en tant que loup mais pas en tant qu'Humaine...Pfffff, le souffle de Bella balaya les pages avec une grande vitesse... Elle avait sauté environ un cinquantaine de page mais Bella les jugeais non importante... Son regard s'enleva de son livre. Elle balaya le couloirs des yeux, a part les armures qui tournait la tête de sont côté et les portrait dont les habitants dormait rien, aucun signe de vie ormis Bella dans ce couloirs. Elle se leva et posa ses deux pattes inférieur sur le rebord de la fenêtre regarda la lune pendant de longue minute puis revient alors s'assoir a l'endroit précis où elle se trouvait quelques minutes plus tôt. Les oreilles droite en même temps qu'elle lisait ce livre de son regard jaune, Bella écoutait les allentours... Pour le moment rien a signaler... Mais elle tomba sur une partie du livre qui l'intéressait. Les questions. Elle était a la page 687, et enfin elle avait trouvait quelque chose qui pouvait l'intéressait . Elle se concentra alors plus sur sa lecture que sur les bruits qui l'entourai... Mais sa truffe elle lui servait toujours. Un faible flux de parfum fit tréssaillir sa truffe toute noire. Elle releva la tête et regarda autour d'elle, elle le sentait quelqu'un approchait. Elle releva sa tête grise et commença a grogner dans un grognement presque imperceptible... Mais ses oreilles étaient en arrière. Elle était sur ses gardes. La jeune fille en arrivant devant elle eut un mouvement de recul. En l'espace de quelques secondes ou la jeune fille passa sous le halo de lumière que la lune déssiner a travers la fenêtre, Bellatrix reconnut Maëlis Clivert une jeune Serdaigle. Elle repris une posture tout a fait normal et s'avança un peu pour se plaçait sur le halo de lumière. Ses yeux jaunes la regardait, mais il semblait plus brillant et pétillant que d'habitude... Elle ne disait rien, Bella était la mais ne semblait montrer aucune agressivité. Pour une fois !

"- Bellatrix ?"

La tête grise de bella la regardait avec un air tout a fait calme. Même ayant garder le silence lorsque Dumbledore avait demander des explications sur les signe de morsure qui était marquer sur la peu de Rabastan, personne n'avait rien dit mais bien évidemment tout le monde le savait. Seul point positif c'est que si elle va recontrer ses congenaire, seul sa soeur pourrait le reconnaitre grace a la tache noire qu'il y avait sur le côté interne de sa patte inferrieur gauche...

"- Il est un peu tard pour quitter ton dortoir, tu ne penses pas ?"

De toute évidence, Maëlis savait a qui elle avait a faire... Bellatrix repris alors une forme humaine laissant alors voire sa mini robe de chambre transparente et sa nuissette. Après tout elle s'en moquait puisque Maëlis était une fille donc plus facile à se montrer...

"- Maëlis... Un peu tard mais au moins je suis tranquil ici... Et puis personne ne prète attention vraiment a se couloir... Et toi que fais-tu a une heure pareil ? "

Elle se releva et calla contre le mur sur lequel Maëlis était appuyait... Elle la regardait a présent de ses yeux noire...

Il y avait quelque chose de particulier chez cette fille. Bellatrix Black était, d’un côté, la fille dont Poudlard parlait le plus ces derniers temps. Impossible de passer dans un couloir sans que quelques mots ne soient murmurés à son sujet. Notamment à propos de la.. fameuse prophétie, dont presque tout le monde connaissait l’existence sans savoir de quoi il retournait réellement. Paradoxalement, la Serpentarde était indéniablement de ceux que l’on préférait éviter, sa mauvaise humeur étant connue de tout un chacun. Ce côté de sa réputation la précédait, où qu’elle aille, sans qu’elle fasse apparemment quoique ce soit pour le changer. Pire qu’un boulet que l’on traîne derrière soit, c’est ce que l’on savait le mieux à son propos.

Et pourtant.
Elle était là, en ce moment même, face à May, une étrange lueur brillant au fond de ses pupilles dorées. Toujours sous sa forme de louve, elle s’était avancée, de manière à se placer sous un rayon de lune, la lumière blanche dessinant des arabesques compliquées sur sa fourrure d’apparence soyeuse. Y avait-il quelque chose à décrypter dans ce regard ? Ça, Maëlis n’en savait rien. Elle ne la connaissait pas suffisamment pour prétendre la comprendre. Jusque là, elles n’avaient eu que l’occasion de se croiser de temps à autres, en cours ou dans les couloirs, et s’étaient contentées de courtes discussions platoniques ou de simples saluts. Une chose était sûre, cependant, la préfète-en-chef ne montrait en ce moment aucun signe d’animosité. La Serdaigle n’avait aucune idée de la manière dont elle devait se comporter cette fois. S’inquiéter ? Rester sur ses gardes ? Ou… rien de tout cela ? Quelque chose en elle-même lui conseillait de faire demi-tour. N’était-elle pas face à une source d’ennuis ?

Mais… elle n’était pas du genre à se fier aux rumeurs. Et alors qu’elle la regardait, Bellatrix semblait tout le contraire de ce que l’on disait jour après jour. Il valait toujours mieux laisser à chacun sa chance plutôt que de prêter attention à des « on-dit ». Elle n’avait personnellement aucune raison de se méfier, outre son caractère naturellement prudent. Ce sont ces réflexions qui poussèrent Maëlis à avancer, à lui adresser la parole plutôt qu’à partir. Elle avait toujours aimé les énigmes, Bellatrix Black en était elle-même une. Et pas des moindres.

Son interlocutrice ne laissa transparaître aucune marque d’étonnement lorsqu’elle la nomma par son prénom. Elle continua donc, d’un ton neutre. Avança de quelques pas pour s’appuyer au mur devant lequel se trouvait Bellatrix, et attendit qu’elle réponde. Ou pas.

L’animagus reprit sa forme initiale, laissant apparaître sans aucune gêne une nuisette transparente soulignant sa silhouette gracile, son regard, à présent bien plus sombre, fixé sur la sixième année.

"- Maëlis... Un peu tard mais au moins je suis tranquille ici... Et puis personne ne prète attention vraiment a se couloir... Et toi que fais-tu a une heure pareil ? "

Se redressant, elle prit tranquillement place aux côtés de la bleu et bronze, et un mince sourire fit se relever le coin des lèvres de cette dernière.

- Moi ? Oh, simple ronde de préfet. Mais les couloirs sont carrément déserts ce soir. Je n’ai croisé personne, à part toi. Enfin… ça fait du bien, un peu d’calme de temps en temps. Même si j'avoue quand même avoir été très surprise de croiser un loup plongé dans la lecture d'un bouquin.

Son ton avait été amusé sur la dernière phrase. Qaunt au reste, elle parlait évidemment d'elle, mais également de Bellatrix. Il n’était guère étonnant de voir la jeune fille s’isoler de temps à autres face à l'agitation qui régnait au château puisque, pour le peu qu’en savait Maëlis, ces dernières semaines n’avaient certainement pas été très agréables pour elle.
Elle se rendit compte qu’elle ne s’était jamais questionnée sur ce que pouvait ressentir la jeune fille à propos de… tout ça. Et les mots coulèrent d’eux-mêmes, sans qu’elle n’ait seulement le temps de songer à les retenir.

- Comment vas-tu depuis la dernière fois qu’on s’est vues?

Question qui aurait pu sembler anodine, si l’époque, les protagonistes, avaient été autres. Mais ce n’était pas le cas. Maladresse. Son but n’avait pas été, au départ, de remettre le sujet Rabastan sur le tapis, ou de parler des évènements récents. C’est après avoir parlé qu’elle se rendit compte que ses mots pouvaient s’y rapporter. Après tout, Bellatrix devait certainement entendre ces mêmes questions à longueur de journée, de la part de ses plus proches camarades.

Enfin. A la Serpentarde de choisir d’aborder ce sujet ou non, à présent. Elles pouvaient tout aussi bien parler de tout et rien, histoire de se changer mutuellement les idées pendant les prochaines minutes qu’elles passeraient ensembles.

"- Oh... Ben le quotidien tu sais, vingt hiboux aujourd'hui juste pour moi, des questions que l'ont me pose a tout coin de coulors, des personnes qui me harcelle... Enfin le quotidien quoi..."

Oui quotidien terrible. Elle se levait avant tout le monde afin de pouvoir être tranquille pour le levé, dès que les hiboux arrivait le grand duc de Bellatrix crouler sous les lettres des autres camarades des autres maisons. Elle regardait quand même les expéditeurs on ne sais jamais, si l'une était de sa mère ou de sa tante... Mais a chaque fois il s'agit de lettre des élèves qui veulent connaitre la prophétie en jurant sur monts et merveilles qu'il ne répèteront rien. D'autre offrait des cadeaux afin de facilité la parole de Bellatrix. Mais rien n'y faisait. Bellatrix gardait les cadeaux mais ne repondit pas pour autant. Une fois son petit déjeuné elle se rendait dans sa salle de cours tant bien que mal... Tout le monde l'attrapait par le bras pour lui posait des questions... D'ailleurs un Serdaigle de 2ème année en avait fait les frais. Bellatrix avait sortit sa baguette et l'avais soumis au maléfice du saucisson. elle espérer que cela rendrait les autre un peu plus sur leur garde et la laisserait un peu respirait. Mais ce ne fut pas le cas...

Elle soupira et ramassa son livre ainsi que sa baguette. Elle regarda un bref coup d'oeil la page ou elle était. D'un côté elle était soulager car sa forme animagus certain la connaissait mais, ce qu'il ne savait pas ou plutôt ne prétait pas attention a la marque noire sur son pelage. Marque qui reflétait bien entendu la marque des ténèbres. En temps normal Bellatrix aurait tout fait pour cacher cette marque mais a l'heure présent elle s'en moquait totalement. Pff a quoi cela servait de faire quelque chose qui était perdu d'avance... A rien... Elle regarda alors Maëlis. Puis elle prit son livre qu'elle plaqua contre elle même